Harry Potter, c’est ce petit sorcier de la fameuse saga de J.-K. Rowling  qui a rendu son auteur milliardaire. Bien sûr, ceci ne s’est pas fait du jour au lendemain, mais presque ! Ce succès planétaire est un phénomène très rare dans le monde de l’édition. Globalement, les 7 tomes ont été vendus à 420 millions d’exemplaires dans 140 pays à travers 73 traductions ! Voici quelques éléments expliquant les raisons de cette incroyable réussite.

Harry Potter : parmi les trois meilleures ventes mondiales

Quels sont les livres les plus vendus dans le monde ?

  1. La Bible, 3,9 milliards d’exemplaires (!)
  2. Mao Zedong, Le Petit Livre rouge, 820 millions d’exemplaires
  3. J.-K. Rowling, Harry Potter, tomes 1 à 7, 420 millions d’exemplaires
  4. Charles Dickens, Le Conte des deux cités, 200 millions d’exemplaires
  5. A. de Saint-Exupéry, Le Petit Prince, 145 millions d’exemplaires
  6. J.R.R. Tolkien, Le Seigneur des anneaux, 103 millions d’exemplaires
  7. S. Meyer, Twilight, 100 millions d’exemplaires
  8. D. Brown, Da Vinci Code, 80 millions d’exemplaires
  9. N. Hill, Réfléchissez et devenez riche, 70 millions d’exemplaires
  10. P. Coelho, L’Alchimiste, 65 millions d’exemplaires

Eh oui ! Harry Potter est la troisième plus grande vente mondiale de tous les temps. Il faut dire que la machine commerciale est bien huilée. Dès le troisième tome, la Warner a sorti les adaptations cinématographiques quasiment en même temps. Dès le quatrième tome, une stratégie marketing événementielle inédite pour du livre a été mise en place avec force, générant 60% des ventes les cinq premiers jours suivant la parution de chaque opus. Autre fait atypique, en France comme dans d’autres pays, jamais il n’a été vendu autant de titres en langue originale, sachant que ceux-ci paraissent avant la version traduite. Enfin, il est rare que des pavés aussi épais soient lus par un jeune lectorat.

Mais pourquoi Harry Potter a-t-il autant défrayé la chronique ? Bien sûr, le marketing y a contribué, mais ce n’est pas la seule raison. Plus profondément, Harry Potter représente autre chose de très universel…

Harry Potter : une quête initiatique universelle pour un roman d’enseignement

Il ne s’agit pas seulement de romans fantastiques confinant à de l’heroic fantasyHarry Potter, ce sont aussi des romans d’apprentissage. Une quête initiatique, un secret très bien caché jusqu’au 7e tome, l’évolution de plusieurs personnages attachants au fil du temps qui suit celle du jeune lecteur, voilà qui est assez inédit. Mais on trouvait déjà, dans la littérature de jeunesse britannique, ce genre de roman initiatique notamment sous la plume de l’auteure à succès Enid Blyton, mère du fameux Club des Cinq. Les Anglais raffolent de ces personnages enfantins ou adolescents évoluant au milieu d’intrigues policières ou magiques, et le monde anglais scolaire ou universitaire fait partie des mythes forts. Charles Hamilton a également écrit une saga mettant en scène le personnage Billy Bunter dans cette optique, tout comme l’auteur Thomas Hughes. Qu’on pense aussi au Cercle des poètes disparus par exemple : la littérature victorienne abonde de romans initiatiques se déroulant dans le huis clos d’une école, ce qui a laissé des traces jusqu’à aujourd’hui.

Ainsi, l’une des composantes d’Harry Potter est l’adaptabilité du héros. Harry Potter doit toujours enfreindre les règles pour arriver à ses fins. Or, il est certain que ce petit personnage possède des pouvoirs immenses, mais il reste malgré tout un antihéros. Il n’est ni beau, ni riche, ni adulé et sa vie sentimentale n’est pas des plus réjouissantes. Dans ce cadre, il représente l’adolescent moyen avec ses failles et ses faiblesses, ce qui le rend attachant : n’importe quel ado peut s’identifier à lui, n’importe quel adulte peut se reconnaître jeune dans ces traits.

Harry Potter ou l’intelligence de la transgression

Par un schéma narratif fondamental qui se reproduit lors de la plupart des opus, l’affaire se dénoue à la fin de l’année scolaire et Harry tire leçon de ses actes auprès de son mentor Dumbledore. Ce n’est qu’à la fin de la saga que l’intrigue se déroule hors des murs de l’école, même si la scène finale y retourne. Cette initiation est donc symbolique et met le savoir et l’édification au centre des choses. Pour autant, ce savoir n’est pas académique et Harry Potter démontre que la ruse, l’intelligence et la transgression sont des composantes aussi importantes que le savoir lui-même. Harry Potter est un héros révolté. Ceci dit, la saga finit sur un Harry Potter ayant des responsabilités d’adulte, puisque ses choix et agissements rejailliront sur le monde entier.

Harry Potter sera confronté à une tragédie shakespearienne, devant accepter de mourir pour sauver le monde, et il subira là l’ultime initiation puisqu’il reviendra de la mort pour accomplir son destin jusqu’au bout. Il sera donc passé de l’enfance à la plus inaccessible des sagesses, alors qu’il n’était qu’un gamin (presque) comme tous les autres, tout en sauvant l’univers du mal et en acquérant, par là même, la stature messianique d’un sauveur universel reconnu comme tel par ses pairs. C’est ici également que le jeu d’identification avec ce héros est profond, car il peut convenir à tous les lecteurs. On peut tous un jour ou l’autre sauver le monde, ou du moins le rendre meilleur… Harry Potter possède bel et bien un aspect utopique qui résonne avec toutes les civilisations.

Harry Potter : quête à l’immortalité ou à la mort ?

Voldemort est le double sombre de Potter, et les deux personnages forment une dyade. Autant Potter est un gamin (presque) banal, autant Voldemort est à l’inverse un personnage incarnant paradoxalement la mort tout en étant en quête d’immortalité. Comme la mort elle-même. C’est par capillarité que Voldemort existe, se régénérant à chaque tome, étant partout en filigrane sans être là. On apprend au fur et à mesure que son âme habite plusieurs objets cachés, lui assurant cette immortalité. Ce qu’on apprend sur le tard, c’est que Potter est lui-même l’un de ces objets ! Ce lien fort et indéfectible rappelle la quête naturaliste de Zola, ou le fatum de la tragédie antique : comment pouvoir lutter contre sa nature la plus profonde, celle qui nous constitue ? Harry Potter est donc également en quête de lui-même, de ce qu’il est sans le savoir. De fait, c’est cette zone d’ombre, ce silence qui rend à Dumbledore toute son importance : c’est, avec Severus Rogue, le seul à savoir la vérité à ce sujet et la quête de Potter est totalement orientée par ce mentor. Ce qui est troublant et ambigu, c’est donc que Potter n’est pas véritablement mu par son libre arbitre, et qu’il est le jouet d’une destinée qui le dépasse très largement. Cet aspect tragique contribue donc fortement à l’universalité de la saga.

Car le thème sous-jacent le plus récurrent est donc bien la mort. La quête d’Harry Potter semble de pousser la transgression jusqu’au bout, au-delà des lois universelles, en combattant la mort omniprésente incarnée par Voldemort. Tuer la mort est un fantasme fondamental qui transparaît notamment dans la plupart des contes, qui confinent eux aussi à l’universalité. C’est en cela qu’Harry Potter fait preuve d’un certain mysticisme qui s’affranchit pourtant de toute symbolique religieuse. Dans cet univers, il existe un système binaire Bien/Mal mais ni dieu, ni démon. Il y a bien l’inscription sur la tombe des parents d’Harry, tome 7, qui est issue des Corinthiens, « le dernier ennemi qui sera détruit, c’est la mort ». Mais d’une part, ceci résume la quête initiatique de la saga, et d’autre part, l’intrigue se situe dans une Angleterre mythique, elle-même profondément chrétienne.

De l’ambiguïté comme moteur tragique

Pour autant, et c’est là l’une des grandes réussites de J.-K. Rowling, aucun personnage n’est justement binaire. Chacun est totalement ambigu. Potter est un antihéros et possède une face extrêmement sombre qui se dévoile progressivement, puisque c’est là que se situe le nœud de l’intrigue. Son mentor Dumbledore s’avère de plus en plus trouble, ce qui le rend de moins en moins fiable au fur et à mesure que le temps passe. Les camarades d’Harry sont parfois poussés à abandonner ce dernier à son sort. La jolie Hermione ne tombe jamais amoureuse de lui. Ron est un grand bêta qui sera à la limite de la trahison à la fin, par jalousie. Le méchant Severus Rogue s’avère un allié fondamental (et pour cause !…) tandis que certains professeurs s’adonnent à la magie noire. Les ennemis d’hier deviennent les alliés d’aujourd’hui et vice-versa. Cette complexité fait partie intégrante de la quête initiatique, car Harry Potter ne peut en définitive se fier ni aux autres, ni à lui-même. Ce sont les qualités de courage et d’intuition qui dominent, avant la force physique ou la raison. Harry Potter obéit bel et bien au principe shakespearien du sois fidèle à toi-même avant tout.

Les valeurs prônées sont donc celles de la tolérance d’un côté, et du refus de l’autorité injustifiée de l’autre. La bataille contre le dogme fait partie intégrante d’Harry Potter, même si l’univers est ici pétri de traditions secrètes, ce qui est paradoxal – mais fortement constitutif de la civilisation anglaise fondée sur des strates plus ou moins élitistes et fermées.

Harry Potter renferme ainsi un message politique… que nous visiterons dans le dernier article consacré à cette saga absolument passionnante. À très vite ! 🙂

En savoir plus sur Harry potter

  • Joanne Kathleen Rowling et Lindsey Fraser (dir.) (trad. Florence Meyeres), Rencontre avec J.K. Rowling, l’auteur de Harry Potter, Paris, Gallimard,‎ 22 novembre 2000, 64 p. (ISBN 9782070545803 et 2070545806)
  • Benoît Virole, L’enchantement Harry Potter : la psychologie de l’enfant nouveau, Paris, Hachette littératures,‎ 10 mai 2002 (ISBN 9782012790827 et 2012790828)
  • Allan Kronzek et Elisabeth Kronzek, Le livre de l’apprenti sorcier : un guide du monde magique de Harry Potter, Paris, l’Archipel,‎ 6 novembre 2002 (ISBN 9782841874323 et 284187432X)
  • Isabelle Smadja, Harry Potter : les raisons d’un succès, Paris, Presses universitaires de France,‎ novembre 2001 (ISBN 9782130522058)
  • David Colbert, Les mondes magiques de Harry Potter, Paris, Pré aux Clercs,‎ 2002 (ISBN 9782842281441)
  • Sean Smith, J.K. Rowling : la magicienne qui créa Harry Potter, Lausanne, Favre,‎ 2002 (ISBN 9782828906924)
  • Antoine Guillemain, Mon pote Harry Potter, Paris, Archipel,‎ novembre 2002 (ISBN 9782841874347, lire en ligne)
  • Andrew Blake, L’irrésistible ascension d’Harry Potter, Paris, Le Félin,‎ mars 2003 (ISBN 9782866454913)
  • Roland Ernould, Quatre approches de la magie : Du rond des sorciers à Harry Porter. Claude Seignolle, Peter Straub, Stephen King, Joanne K. Rowling, Paris, L’Harmattan,‎ avril 2003 (ISBN 9782747541695)
  • Roger Highfield, Harry Potter et la science, Paris, Flammarion,‎ septembre 2003 (ISBN 9782080685322)
  • Noëlle Hausman et Benoît Carniaux (préf. Charles Delhez), Que penser de… ? Harry Potter, Namur, Fidélite, coll. « Que penser de… ? »,‎ 11 mars 2004 (ISBN 9782873562670 et 2873562676)
  • Edi Vesco, Le guide magique du monde de Harry Potter, Paris, l’Archipel,‎ novembre 2003 (ISBN 9782841875337)
  • Denis Labbé et Gilbert Millet, Étude sur J.K. Rowling Harry Potter à l’école des sorciers : J.K. Rowling, Paris, Ellipses,‎ novembre 2003 (ISBN 9782729815820)
  • Stéphanie Chica, Tout l’univers magique de Harry Potter, Grainville, City éd,‎ octobre 2005 (ISBN 9782915320572)
  • Stephen Brown, Harry Potter : comment le petit sorcier est devenu le roi du marketing, Paris, Dunod,‎ octobre 2005 (ISBN 9782100493777)
  • Éric Auriacombe, Harry Potter, l’enfant héros : essai sur la psychopathologie de Harry Potter, Paris, Presses universitaires de France,‎ novembre 2005 (ISBN 9782130553557)
  • Sophie de Mijolla-Mellor, L’enfant lecteur : de la Comtesse de Ségur à Harry Potter, les raisons du succès, Paris, Bayard,‎ mars 2006 (ISBN 9782227474529)
  • Shawn Klein, David Bagget et William Irwin, Harry Potter et la philosophie : petit traité à l’usage des Moldus, Neuilly-sur-Seine, Michel Lafon,‎ mai 2006 (ISBN 9782749904405)
  • Christine-Sarah Carstensen, Devenir magicien de sa vie : mode d’emploi : Harry Potter, le Chaperon rouge, Merlin l’enchanteur, et les autres, à l’usage des grands, Paris, Éd. Dervy,‎ juillet 2006 (ISBN 9782844544353)
  • (en) Isabelle Cani, Harry Potter ou l’anti-Peter Pan : pour en finir avec la magie de l’enfance, Paris, Fayard,‎ 2007 (ISBN 9782213634555)
  • (en) André-François Ruaud et al., Les nombreuses vies de Harry Potter, Lyon, Moutons électriques, coll. « La bibliothèque rouge »,‎ novembre 2009 (ISBN 9782915793819 et 2915793816)
  • Méziane Hammadi, Les messages cachés de Harry Potter, Monaco, Éditions Alphée – Jean-Paul Bertrand, coll. « DOCUMENTS »,‎ 21 novembre 2008 (ISBN 9782753803541)
  • Lucie de Lossendière, La magie révélée dans Harry Potter, Paris, Contre-dires, coll. « ARTICLES SANS C »,‎ 2009 (ISBN 2849330906 et 978-2849330906)
  • Laurence Motoret, « Les orphelins dans le cycle romanesque Harry Potter de J. K. Rowling« , in Sigila no 22, 2008
  • Marina Lenti, Le Monde de Harry P., Belin (juin 2009) (ISBN 978-2-7011-5286-8)
  • Steve Vander Ark, L’Encyclopédie – le guide complet de l’univers magique de Harry Potter, Alterre (juin 2009) (ISBN 2923640063)
  • Aubrey Malone, Harry Potter de A à Z, Saint-Victor-d’Épine, City éd,‎ juillet 2009 (ISBN 2352882931)
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